Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

ville de vanves - Page 878

  • VANVES DANS LE CREUX DE L’OREILLE

    LE CHALLENGE DES BOULES

    La section Boules Lyonnaises du Stade de Vanves a organisée son challenge de la ville de Vanves le 3 septembre dernier avec 27 équipes venues de l'île de France, de l'Yonne et du Loiret. Dans le concours principal c'est l'équipe Breas du Lac Saint James de Neuilly (92) qui remporte la compétition devant l'équipe Jarry de Paray vieille Poste (91) par le score de 13/7. Dans le concours complémentaire, c'est l'équipe Gaumer de Porcheville  (78) qui gagne devant l'équipe Besson de Sceaux (92) par le score de 13 à 10. Les boulistes vanvéens se sont bien défendus dans ces rencontres de haut niveau, amicale et conviviale et dans un PMS dont les visiteurs admirent à chaque fois l’environnement exceptionnel dans lequel se situent les terrains de Boules Lyonnaises.  Quelques vanvéens sont venus découvrir ce sport et encourager les boulistes comme  Emmanuel Clerin directeur des sports et Bruno Chauvet, président du Stade de Vanves  qui a lancé le but de la finale du challenge 

    FREDERIC LEFEVBRE PREPARE UN LIVRE POLITIQUE

    En ce moment, l‘ex-député de l’étranger, ex-ministre et  ex-suppléant d’André Santini, Frédéric Lefebvre  écrit un livre de souvenirs politiques et compile de nombreuses anecdotes politiques. Il racontera l'ascension de Nicolas Sarkozy, la victoire de 2007, le temps du pouvoir puis la défaite en 2012, la vie dans l'opposition jusqu'à la campagne de 2017, sa rencontre avec Donald Trump, son éviction de la primaire par Nicolas Sarkozy - «Avec des méthodes pas très catholiques, quand même… la fin de notre histoire s'est faite dans la brutalité» -  sa défaite aux Législatives de Juin 2017…. Il n’a pas regret et regarde maintenant de loin, mais toujours avec passion, la politique

  • LES PETITES ECOLIERS PRES DE VANVES (Suite et Fin) : TRAVAILLER LE PLUS POSSIBLE EN MIROIR

    Les Petits Ecoliers sont donc une école d’inspiration Montessori, c’est-à-dire qu’elle met en œuvre sa pédagogie et ce qui fonctionne bien dans le système traditionnel, comme la gestion de groupe d’enfants de 3 à 6 ans. Géraldine Baron s’est entouré de deux adultes qui seront permanents :

    Tout d’abord une éducatrice Montessori qui a été formée sur le développement psycho motricien, psychologique et naturel de l’enfant, la philosophie et le matériel, et intervient le matin.  «Chaque enfant lorsqu’il arrive en classe, s’installe et choisit le plateau en libre service qui l’intéresse dans une zone thématique (le langage, la culture, l’écriture, le sensoriel, la vie pratique). L’éducatrice lui montre comment s’en servir, et elle n’intervient qu’en guide bienveillant, disponible. Elle le laisse faire, se tromper, et éventuellement se corriger tout seul. Le matériel est fait pour que l’enfant puisse s’auto-corriger, car c’est beaucoup plus puissant dans le cerveau que lorsque quelqu’un vient avec un crayon rouge pour dire «là c’est faux L’éducatrice note chaque progrès de l’enfant, pour lui présenter un niveau de difficulté supplémentaire. Et ainsi de suite» indique t-elle.       

    Ensuite, une enseignante, en détachement de l’éducation nationale, intervient l’après-midi sur la base de projets de groupe autour de 3 axes : le développement durable, les activités artistiques, l’ouverture au monde. Elle intervient en connexion avec la vie locale via des partenariats  (maisons de retraites,  artisans…), mais aussi l’apprentissage de l’anglais grâce une intervenante spécialisée. Cette enseignante a la responsabilité de mettre en place la gestion du groupe dans sa totalité, le suivi des apprentissages et les relations avec les parents qui sont très importants

    « Les parents qui ont déjà fait une première démarche pour y inscrire leur enfant, nous font une confiance énorme alors que l’on ne se connait pas, surtout là dans le cadre d’une création. Ils nous confient leur enfant 10H par jour. Cette confiance va s’entretenir évidemment, et elle ne fonctionnera que si on arrive à travailler avec un certain niveau de proximité. J’insiste beaucoup là-dessus, c’est-à-dire dans l’intérêt de l’enfant, car cela ne fonctionnera que si on a un échange transparent, honnête et clair. Notre rôle est d’expliquer aux parents ce qui se passe dans l’école, à la fois les bonnes choses et les moins positives mais toujours dans une démarche d’amélioration. Et on attend des parents la même chose. D’ailleurs, ils ont signé la charte de l’école par laquelle ils s’inscrivent dans cette relation transparente avec nous, ce qui se passe dans la maison et pourrait impacter le comportement de l’enfant ou l’état psychologique de celui- lorsqu’il est avec nous. Essayer de travailler le plus possible en miroir entre ce qui passe à la maison et à l’école est notre objectif» 

  • ILLUSTRATION DES DEFIS DE LA RENTREE SCOLAIRE A VANVES

    Cette visite ministérielle de la Rentrée scolaire à Vanves a illustrée parfaitement les défis auquel est confronté le nouveau gouvernement en matière d’éducation. Ce lundi matin, le Parisien faisait état de ce fléau qu’est l’absence des professeurs d’écoles avec l’exemple justement de l’école Gambetta où le ministre Castagnier s’est arrêté. « Par un incroyable concours de circonstances, ce sont six instituteurs et institutrices qui se sont succédés, en tout, pour encadrer les enfants de CE2-CM1. Sans compter les jours où aucun professeur n’était présent pour la classe ». En citant le témoignage d’une parent d’élève : «Ils ont été ballottés à droite, à gauche… Vous arriviez parfois, le matin, sans savoir si quelqu’un pourrait s’occuper d’eux».

    Réponse de l’inspection académique selon le Parisien : « C’était une année exceptionnelle et on espère que cela ne se reproduise pas ». Mais il est vrai que c’est d’abord l’enseignante titulaire qui, après plusieurs absences, est partie en congé maternité après les vacances de Noël. Cinq remplacements - dont deux, la première semaine - se sont ensuite enchaînés entre janvier et juillet. Deux d’entre eux ont dû quitter leur poste pour des raisons administratives et, notamment, de rémunération ».

    Alors que les médias faisaient état de la volonté du ministre de l’Education Nationale de limiter à 12/14 le nombre d’élèves en CP, des parents d’élèves la maternelle Cabourg, à Vanves, manifestaient contre une classe surchargée de la grande section et réclamaient une classe supplémentaire :  « Un maître se retrouve seul, sans Atsem (NDLR : Agent territorial spécialisé des écoles maternelles), pour l’aider, avec une classe de 33 petits ! » expliquait l’un des parents.